Octave Parango ; le patron

Nom : Parango

Prénom : Octave

Age : Voyons, ce genre de question ne se pose pas !

Description physique : Mon avatar est là, tu sais gamin, c'est pas uniquement pour faire joli. Alors maintenant tu ouvres grand les yeux et tu regardes ce dernier bien en détail afin de pouvoir répondre par toi-même, comme la grande personne que tu es, à cette stupide question !
Signes particuliers : Le patron à pour habitude de dissimuler ses prunelles céruléennes, semblables à des disques de ciel vide de nuages, derrière les verres fumés de ses lunettes de soleil ; ainsi ne peut-on discerner avec exactitude le miroir de son âme et la lueur qu'il véhicule selon les circonstances. Il est également à noter que ses mèches châtains demeurent quelque peu indisciplinées, le gratifiant d'un air de « mauvais garçon » qui lui sied à ravir.
NB : est atteint de déficiences visuelles plus ou moins importantes qu'il parvient à dissimuler on ne peut mieux toutefois.

Description morale : Certains prétendront que je n'ai aucune morale... aucune conscience... aucun cœur ; qui sait, ils ont peut-être raison ces gens-là.
Pour ma part, je ne saurais m'exprimer expressément sur ce point car aussi étrange que cela puisse paraître, je ne parviendrai guère à réellement exposer toutes les facettes de ma personnalité avec une clarté aussi limpide que je le souhaiterai. Pour tout vous dire, je crois que je ne me connais pas assez suffisamment pour parler de mon sens moral... je sais simplement une chose : je suis instable. Très instable. Tellement instable que je me trouve dans l'incapacité totale de prédire ne serait-ce qu'une seule de mes actions lorsque tombe la nuit en mon for intérieur. D'ailleurs si pareil événement survient lorsque vous vous tenez, par le plus malheureux des hasards, en face de ma personne je vous suggère de fuir pour votre salut ; toutefois, chers amis, n'oubliez pas, ce faisant, qu'il n'existe nulle échappatoire dans méandres des Ténèbres...seulement la Mort qu'on ne peut berner en aucune circonstance.
Psychose. Il me semble perdre, parfois, le contact avec notre réalité. C'est un fait, je glisse certains jours vers une impalpable noirceur inconsciente que je ne peux vous décrire avec exactitude ; de là tout s’accélère. Emprisonné au sein d'un véritable tourbillon de sons cacophoniques et de lueurs rougeoyantes, je me laisse en tout point bercer par une symphonie voluptueuse et enivrante grâce à laquelle je me sens indubitablement revivre sous un jour nouveau. Oh... je ne vais pas le cacher, au fond, j'aime à me retrouver dans un tel état... c'est tellement grisant de se savoir au dessus même des principes fondamentaux régis par le Surmoi, si amusant de flirter avec la folie furieuse à un tel point qu'elle en devient une Muse exceptionnelle quant à la conception d’œuvres artistiques diverses.

Test RP :
[i]Son réveil-matin n'avait pas encore émit la moindre sonorité lorsque Octave Parango, dont les yeux aux moult nuances azuréennes papillonnaient légèrement dans le but certain de s’accoutumer à la lueur environnante, émergea du royaume des songes. Néanmoins il n'esquissa, pour l'heure et outre les quelques battements de paupières précédemment mentionnés, nul mouvement ; et ce n'est que suite à un long moment d'immobilisme tant relatif qu'absolu, durant lequel son regard s'était fixé au plafond tandis que ses pensées s'évadaient ça et là, qu'il finit par se redresser lentement, achevant ainsi de s'asseoir en tailleur sur son lit. De là tenta-t-il, comme chaque matin, de se remémorer ses rêves d'enfant sage. Mais seules de piètres images s'offrirent à lui, semblant se refléter, hagardes, sur l'écran géant panoramique de son cerveau, lointaines et floues telles des aquarelles filandreuses aux contours mal définis brouillées par un surplus d'eau. Ces formes brouillonnes flottèrent en son esprit quelques instants avant de s'estomper dans l'adversité à la manière d'un banc de poissons, explosant ça et là pour au bout de compte se perdre dans l'espace et le temps, tandis que s'élevait la mélodie caractéristique du réveil-matin.

-Bon...

Octave, mollement, tendit alors son bras maigrelet en direction de l'appareil antérieurement évoqué afin de le désactiver avant qu'il ne finisse par réveiller les morts. Dès lors se leva-t-il sans perdre ne serait-ce qu'une seconde supplémentaire en rêveries inutiles ; pressé de retrouver son cher ami au parc municipale, le jeune garçon s'habilla en toute hâte et sorti de la maison sans prendre la peine de déjeuner au préalable -peut-être aurait-il dû le faire, d'ailleurs, cela lui aurait certainement évité bien des gargouillis-. Cependant sa course folle vers l'amusement fut stoppée nette lorsqu'une voix familière s'éleva derrière lui au moment où il allait passer le portail de son jardin [...]

Le fait que tu sois validé coule de source Wink

[Et je tiens à dire que j'ai adoré ta présentation Very Happy

]

» Léopold Parango : Le geek