Quatre mots sur un clavier, ceux que je vais noter. . .

Ici, c'est MON flood à moi. . .

C'est là que j'apposerai les petits trucs qui me viendront soudainement en tête, tel un souffle de vent venu dont ne sait où saisissant l'âme de toutes parts... Inutile de vous spécifier alors que ce qui s'y trouvera prochainement n'aura somme toute presque aucun sens. . . que les idées s'entremêleront sans jamais réellement se toucher ; un véritable sac de nœuds version pensées frivoles, vous voyez un peu le genre ?
Bon pour l'heure je n'ai pas grand chose à y inscrire, mais je suis certain que cela viendra ; ce n'est qu'une question de temps !

Je vous laisse sur une petite note de musique. . .

Il est venu le temps de faire le mal, de semer le chaos, je suis de retour dans le business !
Alors à moi les jeunes filles dans les caves, les anus à gogo, je vais pouvoir m'vider les couilles
J'ai vaincu, brisé, Mathieu Sommet, SlG est à moi jusqu'à la fin des millénaires
( sur l'air de ; il est venu le temps des cathédrales de Notre Dame de Paris )

J'ai grandement hâte de voir ton esprit s'égarer au rythme des mots fous et chaotique Wouat

( Sur ce je vous laisse, ton flood et toi, passez une bonne soirée en tête à tête Wink

)

Bon sang... je pensais que j'allais quand même avoir plus d'inspiration que cela... hum... mon esprit doit s'égarer par delà la pensée et le temps pour ainsi me faire faux bond ; voyons le bon coté des choses, il y en a au moins un qui ne sombre pas dans l'errance paradoxale d'un silence criant. . .
Ce que je viens de dire n'a aucun sens !
Quoiqu'il en soit, bienvenue dans mon antre mon p'tit Math'...

Oh ? Je peux rester ?
*Réapparaît au coin de la porte, légèrement penché sur le côté, le tout avec un petit sourire*

Si tu veux, nous pouvons faire s'envoler le flood au loiiin ensemble ! Je ne sais pas, tu ne veux pas nous faire partager quelque chose ? *Se sent l'âme d'un psy Like a boss

*

Merci pour la bienvenue mon p'tit Octave <3

« Vous ne passerez pas votre prochain anniversaire, j'en ai peur »

Certains mots vous laissent un goût amer en bouche, une saveur acre de peur et de détresse mêlées. Quelques phrases sont comme autant de coups fatals portés à l'aide d'un poignard dont la lame crantée et cruellement acérée n'aurait de cesse de vous lacérer jusqu'à vous rendre méconnaissable aux yeux de vos proches ; des paroles qui blessent jusqu'à l'âme, qui pourfendent le cœur avec une ténacité sans nulle autre pareille, qui donnent envie de tout plaquer... de tout arrêter... en somme d'en finir maintenant pour être en paix à jamais, car après tout à quoi bon poursuivre le lent cheminement imposé par un chemin sinueux qui nous mène droit dans un gouffre sans fond.
Quelle horrible fatalité de se dire que notre existence fut trop courte, que nous n'avions guère eu le temps d'en profiter pleinement et que même en presque trente ans on ne put effleurer ne serait ce qu'un maigre pourcentage du verbe aimer. Je hais ma maladie et non la vie ; c'est pourtant la second que je vais quitter au profit de la première. . .

.....

*Non je n'ai pas de mots, tu as tout dis avec ton âme...*

Mine de rien... ils ont voulu se la jouer Gandalf avec leur "vous ne passerez pas" *essaye tant bien que mal de relativiser les choses*

Le vrai Gandalf aurait redonné un peu d'espoir en prouvant qu'il ne disparait pas; il passe juste à la machine pour finir Le Blanc!